Pratique de conformation sexuée : un acte de torture ?
Benjamin Moron-Puech, Professeur à l’Université Lyon 2 Louis Lumière, livre ici les observations qu’il a adressées à la CEDH dans l’affaire M c. France : il plaide ici que la pratique de conformité sexuée infligée aux personnes intersexuées relève de mutilations, et du régime juridique de la torture et des traitements dégradants.
Voir en ligne : A lire sur la Revue des droits et libertés fondamentaux