- Extrait du communiqué de presse
- A noter : La CEDH juge que les traitements inhumains dégradants ont été subis par le nourrisson et sa mère (violation de l’article 3 de la convention), "eu égard aux liens inséparables qui unissent une mère et son bébé de 4 mois, aux interactions qui résultent de l’allaitement [et] aux émotions qu’ils partagent".