Un collectif d’associations (dont la ligue des droits de l’Homme) et de demandeurs d’asile avait déposé le 15 avril un référé-liberté [une procédure d’urgence] pour contester cette suspension “inédite en France et (qui) ne se justifie par aucun texte”, selon un communiqué commun des requérants publié
Le tribunal administratif de Paris, saisi par des associations, a ordonné mardi 21 avril la reprise des dispositifs d’enregistrement des demandes d’asile, suspendus par les préfets d’Île-de-France au début du confinement.
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Lire l’ordonnance du 21 avril 2020 , TA de Paris