Une personne décédée peut-elle encore se prévaloir de droits ?
Quel est le statut juridique de la personne décédée ? Les principes qui fondent le respect de la personne deviennent-ils caduques au moment de sa mort ? Faut-il penser le cadavre comme relevant d’une catégorie intermédiaire entre la personne et les biens ? Quels sont les principes qui peuvent fonder des droits que l’on reconnaîtrait au cadavre ?