Covid-19. Effets induits. Ep 3 : La précarité aggravée des travailleurs du sexe

, par Valérie Marchand

Le confinement place la plupart des travailleuses et travailleurs du sexe dans une situation de survie économique.

1er mai : Plusieurs ONG de la santé et de la lutte contre le sida appellent le gouvernement à mettre en place un fonds d’urgence pour les travailleurs et les travailleuses du sexe. Face au Covid-19, l’urgence est sanitaire mais aussi sociale et alimentaire. A lire sur Médiapart

Le STRASS , syndicat du travail sexuel a réalisé une Couverture médiatique du travail du sexe en période de crise COVID19 – 7 au 27 avril

Le 6 avril, une « aide d’urgence » a été demandée au gouvernement par des associations et syndicats : la principale demande , exprimée par le courrier du 6 avril à Emmanuel Macron, est la mise en place d’un revenu de confinement, « sans aucune forme de condition : ni de régularité du séjour, ni d’arrêt de l’activité ». Lien vers l’article ( site ASH), Lire également l’article paru le 6 avril sur le Huffingtonpost. Cette demande n’a pu aboutir au motif qu’il est « très compliqué pour l’Etat d’indemniser une personne qui exerce une activité non déclarée telle que la prostitution”.

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