Ces violences exercées sur les femmes ont été caractérisées en 2018 par le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes comme les « actes sexistes les plus graves qui peuvent se produire dans le cadre d’un suivi ». L’actualité judiciaire fait régulièrement état de gynécologues mis en cause. Avi Bitton et Nelson de Oliveira, avocats, font un point utile sur les procédures pénales et disciplinaires.
Le 10 décembre 2021, un professeur chef de service obstétrique de l’Hôpital Tenon a été démis de ses fonctions (de praticien et d’enseignant) de manière administrative ; il est par ailleurs visé par des plaintes pour viol.
Un ancien gynécologue d’Arras est mis en examen : il est accusé d’avoir agressé sexuellement des patientes. A lire ici