Selon Y.Jadot, Total se rend complice d’un crime de guerre.
Que Total soit restée en Russie lorsque de nombreuses entreprises françaises fermaient leur site pose un problème politique, qu’il faut distinguer de la question juridique de la complicité. C’est pourquoi accuser Total de complicité de crime de guerre est aller un peu vite en besogne, comme le souligne Chiara Parisi, doctorante en droit public, sur le site de legal checking les Surligneurs.fr.
Voir en ligne : A lire sur le site des Surligneurs