Selon une étude récemment publiée par l’Institut des Politiques Publiques, en date du mercredi 3 avril, 86% des affaires de violences sexuelles et 94% des affaires de viols ont été classées sans suite. Une caractérisation insuffisante des infractions expliquerait ce nombre très important de classements sans suite.
Accéder à l’étude : Le traitement judiciaire des violences sexuelles et conjugales en France. Maëlle Stricot. Avril 2024. Note IPP n°107 :
A écouter : « Quid Juris ? » – Le viol et la question du non-consentement