L’opinion publique juge souvent durement l’avocat de la défense, au motif qu’il serait prompt à défendre l’indéfendable… Edwige Rude-Antoine, juriste et sociologue, directrice de recherche au CNRS, livre au monde les conclusions de l’enquête qu’elle a réalisée durant 4 ans auprès de professionnels. Elle a publié ses résultats dans L’Ethique de l’avocat pénaliste (L’Harmattan, 2014).
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« Etre avocat de la défense, ce n’est pas nier la souffrance de la victime »