La CEDH examine le bien-fondé des assignations à résidence

, par Aline Beilin

Assignés à résidence à la suite des attentats du 13 novembre 2015, les requérants invoquaient l’article 2 du protocole 4. La CEDH a estimé que la France n’avait pas violé cet article.
Peut-on limiter la liberté d’aller et venir dans le cadre de la prévention du terrorisme ? Quand une telle limitation se revèle-t-elle légitime ? La CEDH a examiné la requête de David Pagerie contre la France.

Lire aussi l’arrêt de la CEDH ici}]

Voir en ligne : A lire ici sur Actu-juridique

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