La science au service de la preuve

, par Aline Beilin

En 2005 deux associations — le Mouvement international pour les réparations (MIR) et le Conseil mondial de la diaspora panafricaine (CMDPA) — initie une procédure judiciaire visant à obtenir des réparations pour la traite des esclaves subie. Où quand la science est convoquée comme preuve au procès civil...

Le procès a eu lieu à la Martinique, à Fort-de-France, les 11 et 12 octobre 2021.

Pour prouver le préjudice subi par les descendants d’esclaves, l’avocate du MIR a utilisé l’argument de l’épigénétique, permettrait d’expliquer la transmission du traumatisme aux descendants.

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