« Etre avocat de la défense, ce n’est pas nier la souffrance de la victime »

, par Valérie Marchand

L’opinion publique juge souvent durement l’avocat de la défense, au motif qu’il serait prompt à défendre l’indéfendable… Edwige Rude-Antoine, juriste et sociologue, directrice de recherche au CNRS, livre au monde les conclusions de l’enquête qu’elle a réalisée durant 4 ans auprès de professionnels. Elle a publié ses résultats dans L’Ethique de l’avocat pénaliste (L’Harmattan, 2014).

Voir en ligne : « Etre avocat de la défense, ce n’est pas nier la souffrance de la victime », « Etre avocat de la défense, ce n’est pas nier la souffrance de la victime », le Monde.fr, 30 mars 2018

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